Revue de presse

SupDPO veut sortir les délégués à la protection des données de l’isolement. Depuis la mise en place du Règlement général sur la protection des données dans l’Union européenne en mai 2018, tous les établissements du supérieur se doivent de nommer un délégué en charge de cette problématique. Un métier encore jeune et parfois solitaire, fédéré par SupDPO. Cette association veut tisser du lien entre ses membres pour sortir cette fonction de l’ombre et favoriser le partage de bonnes pratiques [mars 2013]

https://www.campusmatin.com/numerique/equipements-systemes-informations/supdpo-veut-sortir-les-delegues-a-la-protection-des-donnees-de-l-isolement.html?nl=207987&utm_source=email&utm_id=280982&utm_campaign=newsletter-campusmatin-2023-03-02

La CPU et la CNIL entendent notamment accompagner l’entrée en fonction des délégués à la protection des données  (DPO) dans tous les établissements en soutenant l’action du réseau des délégués de l’enseignement supérieur appelé « SupDPO » [janvier 2019].

http://www.cpu.fr/actualite/la-cnil-et-la-conference-des-presidents-duniversite-cpu-renouvellent-leur-convention-de-partenariat/

Une large campagne de sensibilisation auprès des présidents et directeurs d’établissement entre janvier et décembre 2007 a permis la désignation d’une vingtaine de correspondants (…), un des objectifs de la journée du 5 décembre étant d’élargir ce réseau. (…) La désignation d’un CIL constitue en effet un moyen efficace de veiller à la bonne application de la loi dans les universités et constitue ainsi une aide précieuse pour leurs présidents [décembre 2017].

http://www.cpu.fr/wp-content/uploads/2013/08/dos_presse_CIL_dec_07.pdf

La CNIL salue l’action de SupDPO, le réseau des DPO de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (…). Ce travail est le fruit d’une coordination interprofessionnelle visant à la mise en conformité de ce secteur, en lien avec le ministère en charge de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et en collaboration avec les principales organisations représentatives : la Conférence des présidents d’université, la Conférence des grandes écoles, mais aussi l’association des vice-présidents en charge du numérique dans l’enseignement supérieur ou la Fédération des comités d’éthique de la recherche institutionnels. Une bonne pratique à encourager dans les autres secteurs d’activités [décembre 2020]

https://www.cnil.fr/fr/la-cnil-salue-laction-de-supdpo-le-reseau-des-dpo-de-lenseignement-superieur-de-la-recherche

Le réseau SupDPO, créé en 2007, agit depuis en véritable « tête de réseau » dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche. Il est à ce titre un interlocuteur privilégié de la CNIL pour les échanges d’information, la rédaction de guides et de contenus spécialisés, ou encore l’organisation de formations destinées aux DPO de ce secteur.

Cnil.fr, décembre 2020.

La convention [CPU, CNIL & SupDPO] poursuit trois objectifs : l’assistance de la CNIL à la mise en place des CIL au sein des établissements de l’enseignement supérieur et la création d’un réseau de ces correspondants (…). La CNIL et la CPU se félicitent du succès de cette convention car, après seulement un an d’existence, environ 20 % des universités se sont dotées d’un CIL. En effet, au 15 décembre 2007, 21 CIL ont pris leurs fonctions au sein des universités. Parmi eux, un CIL exerce ses missions en tant que correspondant mutualisé pour quatre établissements. Ce succès a permis également d’organiser, en commun, une première rencontre annuelle des CIL des universités qui a eu lieu dans les locaux de la CNIL le 5 décembre 2007.

Cnil.fr, Rapport d’activités 2007.

La CPU et la Cnil entendent par ailleurs accompagner l’entrée en fonction des délégués à la protection des données (DPO) dans tous les établissements, en soutenant l’action du réseau des délégués de l’enseignement supérieur appelé « SupDPO » (créé en 2007), également signataire de la convention de partenariat [janvier 2019]

https://www.aefinfo.fr/depeche/600240#

Le réseau des Cil (correspondants informatique et libertés) de l’enseignement supérieur et de la recherche (…), mis en place suite à la convention de partenariat signée le 25 janvier 2007 entre la Cnil et la CPU, compte maintenant 65 membres (…). Depuis sa création officielle le 5 décembre 2007, le réseau s’est ouvert en avril 2008 aux établissements membres de la Conférence des grandes écoles [avril 2009]

https://www.aefinfo.fr/depeche/296076

Ce mercredi 5 décembre, au siège de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil), le premier réseau de correspondants informatique et libertés (RNCIL) dans les universités est né, sous l’impulsion des représentants de la Conférence des présidents d’université (CPU), de la Cnil et de l’Agence de mutualisation des universités et établissements (Amue). La journée a d’abord servi à rassembler la vingtaine de correspondants informatique et libertés (CIL) déjà désignés par les établissements et dispersés dans toute la France. (..). Nous sommes l’interlocuteur unique dans l’établissement pour toutes ces questions et nous facilitons aussi le traitement des formalités à accomplir auprès de la CNIL (…) Le réseau est l’occasion d’échanger sur des cas concrets avec d’autres personnes exerçant ce métier.

Bfm business, décembre 2017

Connexion au site de la CNIL pour vérifier. Pour compléter sa veille, Guillaume (…) consulte aussi régulièrement deux forums dédiés aux délégués à la protection aux données : celui de l’Association Française des Correspondants aux Données Personnelles (AFCDP) et celui de SupCIL, dédié aux CIL de l’enseignement supérieur [mai 2018]

https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/une-journee-avec-le-data-privacy-officer-de-grenoble-ecole-de-management.html

Depuis la promulgation du RGPD le 25 mai 2018, les établissements du supérieur ont dû revoir leur politique de protection des données. Un défi de taille que tentent de relever les délégués à la protection des données. Ils peuvent compter sur le réseau SupDPO, partenaire de la convention signée entre la Conférence des présidents d’université et la Cnil [février 2019]

https://www.letudiant.fr/educpros/actualite/danscoulisses-protection-donnees-enseignement-superieur.html

Les Grandes écoles, pôles d’excellence aux marques internationalement reconnues, doivent bien sûr être des modèles de conformité ! Bon nombre de Grandes écoles ont déjà désigné des délégués à la protection des données et il convient de saluer le dynamisme du réseau supDPO (ex-réseau supcil), crée depuis déjà plusieurs années et qui rassemble aujourd’hui les délégués d’un grand nombre d’établissements d’enseignement supérieur-universités comme Grandes écoles [septembre 2018]

Isabelle Falque-Pierrotin, Présidente de la CNIL (2009-2019)

https://www.cge.asso.fr/liste-actualites/reussir-le-rgpd-un-objectif-accessible-une-occasion-detre-a-la-pointe/

En 2008, la CNIL et la CPU ont signé un partenariat qui a conduit à la création du réseau informel des Correspondants informatique et libertés (CIL) des universités, sous le nom de SupCIL. En 2011, Pierre Tapie alors président de la CGE, signait à son tour une convention de partenariat avec la CNIL pour « améliorer la connaissance et l’application des principes “informatique et libertés” au sein des Grandes écoles », permettant aux CIL des Grandes écoles de participer aux travaux de SupCIL [septembre 2018]

https://www.cge.asso.fr/liste-actualites/protection-donnees-personnelles-inscrivez-nouveau-groupe-de-travail-de-cge/

« L’utilité et l’efficacité du réseau ne sont plus à démontrer », répond Emmanuel Roux. « Dès lors que les choses montent en puissance, il faut conserver une forme associative. Il faut faire évoluer cette association vers une nouvelle forme qui réunirait les DPD des universités françaises. Cela pourrait donner lieu à une nouvelle convention avec la Cnil ».

News Tank – 19 avril 2018 – Interview n° 118141

« La Cnil nous le dit : nous avons la chance d’avoir un réseau très bien informé de correspondants informatiques et libertés, présent dans la quasi-totalité des universités. C’est de ce réseau que nous allons pouvoir évoluer vers le RGPD. Certains d’entre eux deviendront les délégués à la protection des données ».

News Tank – 2 février 2018 – Article n°112115

« Nous travaillons sur ce sujet pour présenter en décembre prochain, lors de la réunion plénière du réseau, des orientations possibles pour SupCIL. Notre mission de faire le lien entre la CPU et la Cnil et mutualiser les bonnes pratiques permet de préparer l’arrivée du règlement européen dans de bonnes conditions. Le constat est que le réseau répond aux attentes de ses membres, et qu’il a donc un rôle à jouer au-delà de l’arrivée du RGPD ».

News Tank – 18 octobre 2017 – Interview n° 104143

Ainsi, à partir des instructions en vigueur pour les archives de l’enseignement supérieur et de la recherche, les archivistes (de la section Aurore) et DPO (du réseau SupDPO) ont analysé les différentes typologies documentaires susceptibles de contenir des données à caractère personnel pour mettre en perspective la durée d’utilité administrative « archivistique » et la durée de conservation « informatique et libertés »

Archivistes ! n°127, octobre-décembre 2018, Association des archivistes français

Les DPO au service des usagers et des établissements (AMUE, Collection numérique n°6, novembre 2019) – Les réseau SupDPO a été créé pour répondre à un besoin d’accompagnement et de mutualisation “entre pairs” du secteur à part de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (“ESRI”).

Il permet de se nourrir des bonnes pratiques mises en place, de mutualiser l’instruction de dossiers communs et, le cas échéant, de peser dans une négociation face à un même interlocuteur et de concevoir des recommandations sectorielles.

Le réseau SupDPO a ceci de tout à fait exceptionnel : il est le regroupement de profils très variés à l’image des origines professionnelles diverses de ses membres : direction générale, informatique, juridique, conformité, documentation, archives,..

http://www.amue.fr/fileadmin/amue/systeme-information/documents-publications/la-collection-numerique/N__06_-_L_ESR_vu_par_le_prisme_de_la_donnee_universitaire_.pdf


En tant que CIL nous avons la chance de pouvoir prendre part à plusieurs réseaux. Je parlerai de SupCIL. Ce réseau rassemble les correspondants Informatique et Libertés (CIL) des établissements d’enseignement supérieur et de recherche. Cela nous permet d’échanger via une liste de diffusion autour de thématiques très ciblées mais aussi de nous retrouver à l’occasion des deux journées organisées chaque année [décembre 2017]

https://www.journaldunet.com/management/formation/1205797-patrick-blum-essec/

Dans l’enseignement supérieur, nous avons depuis longtemps un réseau efficace et actif qui regroupe tous les DPO de toutes les structures liées à l’enseignement supérieur : SupDPO. Nous nous connaissions donc et cela a facilité leur association très en amont du projet. Nous avons mis à profit les différentes compétences disponibles, juridiques et techniques, sur cette question, dont nous avons assuré un retour d’expérience à l’ensemble du réseau, même si tous n’étaient a priori pas directement concernés [novembre 2019]

https://www.journaldunet.com/management/formation/1486209-victor-larger-fun-mooc/

Les universités de l’Hexagone viennent d’annoncer la création d’un réseau de correspondants informatique et libertés (CIL). (…) Pour le président ou le directeur d’un établissement d’enseignement supérieur, la désignation d’un CIL est en effet le meilleur moyen de veiller à l’application de la loi informatique et libertés. Jouant le rôle de conseil, de veille et d’alerte en matière de déploiement de projets informatiques au sein de l’établissement, il contribue à une meilleure application de la loi et réduit ainsi les risques juridiques [décembre 2017]

https://www.lemondeinformatique.fr/actualites/lire-le-correspondant-informatique-et-libertes-entre-a-l-universite-24803.html